14 juillet 2009
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De cette bouteille bleue exceptionnelle ressort un nectar atypique toujours brillant et qui prête le flanc au temps comme un navire au long cours à la tempête !
Ce Tokay élevé en fût de chêne est en bouche gras et en réalité laiteux avec la vanille qui lui donne un caractère tout à fait marqué et ample. Les fruits jaunes sont là aussi mais prennent les notes du bois. Etonnant, toujours.
14 juillet 2009
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De son apparence sombre ne transparaît aucunement les 9 ans de ce vin au nez poivré et de cassis. En bouche, c'est du poivre rouge, des épices en rang serrés qui se développent si j'ose dire car le vin semble encore pouvoir bien prendre quelques années pour s'épanouir. Bien entendu.
Les batteries de l'APN m'ont lâché, pas de photos donc :(-
5 juillet 2009
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07:19
Ce Sylvaner offre un fruité sur la poire en bouche et un nez plutôt discret. Il est sphérique et plombe rapidement le palais par son côté étonnament sucreux alors qu'on attend d'un Sylvaner de base qu'il soit sec et nerveux. Je suis donc un peu étonné mais à ce prix, on ne va pas faire le difficile (payé 2,50€). Sur le col on peut lire: 28.03.2009. Date de mise en bouteille ?
Ps: pas de photo, tout le monde connaît la sensuelle Anne B qui déguste son verre de blanc :)
5 juillet 2009
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Rosso di Montalcino DOC – 2005 – La Palazetta – Flavo Fanti
Etiquette : Presque sobre, un peu roccoco mais tellement italienne.
Robe : rubis
Nez : alcooleux, boisé, vanille, typé cabernet sauvignon mais c'est du Sangiovese?
Bouche : Sans aération: l’attaque est ample, des notes de cacao, de torréfaction voire de truffe laissent la place à des fruits rouges avec de chaleur et une pointe acide si typique du terroir. Mais cette acidité laisseaussi à penser que ce vin est fait pour être encore garder quelques années. Le bois est (déjà) bien intégré, sans doute pas d’élevage en fût neuf.
Regoûtée le soir, avec tomates, jambon de parme et mozza: quel régal :! Le reliquat de la bouteille ne fera pas long feu et ma compagne en raffole !
L’acidité s’est atténuée (oxygénation ou en raison des tomates ?) au profit des fruits rouges comme la cerise griotte. Il s’est ouvert et le milieu de bouche possède une vraie complexité. Un vin intéressant qui mérite encore une garde plus ou moins conséquente (2 à 10 ans) en fonction du résultat qu'on attend. Le prix de 15,50€ est justifié.
On peut trouver ce vin italien de belle tenue sur vin-malin.fr
4 juillet 2009
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20:41
Je n'ai pas aimé ce crémant Ch. WANTZ (Dambach la Ville de mémoire) sélection Carte noire: si la bulle est fine, le vin est acide et manque de corps. Parfait pour un kir, en somme !
4 juillet 2009
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08:31
Toujours en Italie, je goûte ce Rue 1996: une plante médicinale amère mais en l'occurence le sucre semble avoir été ajouté. Cela se goûte très bien. Tout comme cette grappa où l'on a ajouté de la rhubarbe, de l'aspérule et les autres plantes mentionnées sur l'étiquette.
3 juillet 2009
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22:14
Ce Sanransot m'avait épaté dans un millésime 1999 fort réussi. Ce 2001 est ouvert sans ambages: aucune aération ni autre précaution. Est-ce la raison de cette déception ? Le vin semble carrément fermé. S'il était à attendre, eh bien ! C'est trop tard :) En plus c'était la dernière. POur la photo de la bouteille voir l'article précédent.
3 juillet 2009
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22:03
Pierre qui réside souvent dans ce secteur nous fait encore découvrir un Summolaco 2003 (cave des Dolomites). C'est la version riserva qu'il nous a réservé. Ce vin de cabernet est bien concentré avec ses fruits rouges. Il est souple et le boisé est correctement intégré.
On ne peut pas en dire autant du Fojaneghe 2003: A mon gout son boisé écrase tout sur son passage; peut-etre une garde supplémentaire aurait raison de ce fougueux boisé. En tout cas, il a la préférence de ces dames...
3 juillet 2009
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06:59
On s'imagine toujours le Beaujolais Village comme un vin dénué de complexité...Voilà que ce Clos du Perpetuant 2006 de chez Curial (la dénomination Château Prety n'est là que pour l'export vers les States car nos amis aiment à lire "Château" sur l'étiquette d'un vin français) vient démontrer que l'on peut faire du costaud en appellation BV.
Outre une bouteille lourde, ce vin laisse apparaître des notes poivrées en finale typique du millésime mais surtout d'un terroir spécifique.
Le second vin est un Cabernet Fuggè. Mes connaissances en vin italien sont très limitées. Pierre a ramené cette bouteille de chez G.POLI. Un millésime 1999 qui présente un disque d'évolution typique. En bouche, c'est un étonnant sureau qui ressort, et fait office de note tertiaire atypique majeure. Le vin est harmonieux et vraiment très agréable à boire. Il est loin d'être standard et c'est tout le bonheur de cette découverte pour moi malgré un élevage en barrique qui n'a donc été que bénéfique.
Il existe donc de belles pépites dans les Dolomites !
1 juillet 2009
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22:07
Séduisante étiquette pour ce cru qui fait partie de la sélection de vin-malin.com. Du domaine Cheze, ce Saint-Joseph 2006 Ro Rée nécessite une aération conséquente. Rien qu'en une heure de temps, il passe du stade de très fermé à un vin marqué par l'élevage mais aussi par une matière réelle, dense sur les petits fruits rouges et les épices. Un vin relativement standard qui aura sans doute ses affiniados.
Ce vin est disponible sur vin-malin.com.