750 grammes
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25 août 2008 1 25 /08 /août /2008 21:04

Repas du 24/8/2008

Le crémant en magnum Bestheim touche une légère pointe d’acidité mais le vin est dégusté un peu chaud car les bouchons de la DDE nous occasionnent une heure pleine de retard. Du coup, le crémant Bestheim Rosé servi offre une belle prestation.

Suit un MALESCASSE 1998 HAUT MEDOC CRU BOURGEOIS, superbe, fondu, sur des notes tertiaires et de cassis aussi. La seconde bouteille semble moins évoluée.

Le MAGNUM de NOAILLAC 2005 est sympathique mais un peu trop jeune, pour ce médoc cru bourgeois. Il accompagne un pâté en croûte !

Ainsi que le BOURGOGNE 2002 BLONDEAU DANNE, à l’acidité prononcée, sans doute qui s’estompera avec le temps….Etonnamment.

S’en suit avec une superbe sole en sauce de fruits de mer et son classique croûton, un MAGNUM de CHABLIS TIXIER 30% en fût de chêne, 2005, relativement plaisant quoique lactique.

Le BOURGOGNE ALIGOTE 2002 également en blanc offre encore une petite acidité qui fait dire qu’une liqueur est son meilleur ami.

Suit un RIESLING 2005, GRAND CRU WINNECK-SCHLOSSBERG GEILER : Bouchonnée…La deuxième bouteille ne l’est pas et constitue une surprise avec son odeur de vétiver, de chlorophylle ; de fougère et de chèvrefeuille ! Bravo pour cette différence marquée. Le végétal se substitue pleinement au citrus.

Le plateau de fromage trouve son ami dans ce PINOT NOIR, 1990, MISCHLER, BENNWHIR Cuvée exceptionnelle : il tend à madériser, mais son sucre lui a permis de tenir la longueur. Il est rapidement bu !

S’en suit quelques digestifs fort sympathique un ARMAGNAC 1948, GELAS, un COGNAC XO, un BAS ARMAGNAC et un SCHNAPS quetsche du PAPY défenseur de la loi y relative !

Puis le CREMANT PRESTIGE déjà dégusté précédemment de chez BESTHEIM est bu par deux bouteilles !

C’est ensuite la fin de cette belle journée !

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